HERMANN À MES CÔTÉS ME PARAISSAIT UNE OMBRE
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Le nom de ce parfum est tiré d'un poème de Victor Hugo, "Les deux Cavaliers", qui raconte la dualité de tous les humains, avec leurs parts sombre et lumineuse. Hermann aussi est très complexe: on suit ces cavaliers dans les ténèbres d'une forêt humide, jusqu'à une église de pierre que traverse un rayon lumineux qui pointe sur une rose de métal... Romantique !
Un sillage unique et reconnaissable, pour celles et ceux qui veulent un parfum identitaire.
Intensité : très présent, beau sillage
Ténacité : plus d'une journée
Notes de tête : Poivre Noir, Galbanum, Bourgeons de Cassis
Notes de cœur : Encens, Geosmine, Rose
Notes de fond : Vétiver, Patchouli, Ambroxan
Derrière un titre mystérieux se cache un chypre très moderne qui incarne parfaitement la dualité de l’être. Sombre et poétique, ce parfum nous invite à nous questionner sur la nature de l’existence.
ALCOHOL DENAT., PARFUM (FRAGRANCE), AQUA (WATER), ETHYLHEXYL METHOXYCINNAMATE, BUTYL METHOXYDIBENZOYLMETHANE, ETHYLHEXYL SALICYLATE, LIMONENE, EUGENOL, ALPHA-ISOMETHYL IONONE, ISOEUGENOL, LINALOOL.
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